samedi 24 septembre 2011

John Carter :la bande annonce du nouveau Disney.


Une nouvelle production Disney science-fiction ,alléchant ,personnellement j'aimerais retrouver un La Planète Aux Trésors en mode live ,sa peut être cool. Même si le casting m'attire peu .Je prends quand même le rendez-vous pour avril 2012.

J.Edgar :la bande annonce du nouveau Eastwood avec DiCaprio !!!


En course pour les prochains Oscars ,le tandem Eastwood/DiCaprio ,pourrait bien marqué l'Histoire.
En novembre chez l'oncle Sam , annoncé pour le 11janvier chez nous.

Detective Dee



Tsui Hark ,En 1983, Zu, les guerriers de la montagne magique est le film qui marque le tournant de sa carrière. Il marque également le renouveau du film de combat hong-kongais avec des combats spectaculaires, des experts en arts martiaux qui volent... Il essaie d'apporter des effets spéciaux qui tiennent la route comme dans les films occidentaux, mais le film, sorti trop tôt à son goût, ne va pas avoir un succès public. Il retourne donc au cinéma commercial.
Dans le mitan des années 1990, la crise du cinéma n'a pas épargné Hong Kong et la Film Workshop. Tsui Hark s'est recentré sur ses propres réalisations. Il signe alors quelques unes de ses œuvres majeures : Green Snake (1993) d'après la Légende du serpent blanc, The Lovers (1994) d'après la légende des amants papillons et L'Épée de la vengeance (The Blade, 1995), remake plus ou moins avoué du classique de Chang Cheh pour la Shaw Brothers : La Rage du tigre. Puis il tente sa chance à Hollywood pour deux films mineurs avec Jean-Claude Van Damme. Il ne s'est pas fait aux méthodes américaines et est donc revenu à Hong Kong où il réalise une nouvelle œuvre majeure, Time and Tide.

En 2011, il signe son grand retour avec Detective Dee ,un film au budget de 80 millions de dollar.

L’histoire se déroule en Chine, en l’an 690, durant la période trouble correspondant à l’ascension de l’impératrice Wu Ze Tian.
Tout est prêt pour la cérémonie du couronnement et la petite ville de Chang-An est dans ses habits de fête. Mais une série de morts mystérieuses menace l’intronisation de Wu Ze Tian.
L’impératrice décide alors de faire appel au seul homme capable de percer ce mystère : Le juge Ti, de retour après huit ans de prison pour insolence et insubordination…

Un wu xia pian ,comme on l'aime avec des combats spectaculaire ,un scénario travailler et surtout un enjeu politique !
Une merveille d'une virtuosité incroyable ,qui regorge de trouvailles visuelle sidérante ,comme cette cité "sous terraine ",un lieu qui fait basculer le film dans le pseudo fantastique ,ou plutôt le magique .
Le scénario si particulier ,choisit de très peu prendre le parti du réel ou du fantastique durant toute la première parti du film .Comme souvent avec Tsui Hark ,on en prend plein les yeux mais jamais au dériment des persos ou du scénar'. Les personnages ,jamais caricaturé ,jamais laissé de côté .

Quelques effets spéciaux inégaux ici et là n'entamme pas le plaisir de cette immense réussite visuelle et scénaristique ,très maitrisé ,le film multiplie les faux-semblants de manière jouissif et livre des combats et des poursuites à couper le souffle .
La dernière demi-heure ,dans la gigantesque statue est d'une maîtrise bluffantes et propulse le film dans les mêms stratosphère que n'importe quel film à gros budget hollywoodien. On se prête volontiers au jeu de l'enquête (tellement bien mené) avec une malice étrange ,une force que seul les grands films d'aventures possèdent.

Un Tsui Hark qui n'a rien perdu de sa superbe ,au contraire ,qui signe un très grand film d'aventures qui divertit auant qu'il passione avec son histoire policière dans la Chine du 7ème siècle .

Revigorant ,jouissif et terriblement efficace pour un film qui à toutes les qualitées qu'un film peut espérer. Sans retenu Tsui Hark nus offre un grand spectacle ,des moments de grâce pour une de ses plus belles réussites.
Sans doute un des meilleurs films de l'année.




World Invasion: Battle Los Angeles



Le 24 février 1942, un avertissement des services de renseignements de la Navy annonce l'imminence d'une attaque japonaise sur Los Angeles, dans les dix heures qui viennent[3]. À cette époque, l'Amérique vivait dans la crainte d'une offensive japonaise sur la côte ouest, à la suite de l'attaque sur Pearl Harbor du 7 décembre 1941. A 19h18, l'alerte est donnée suite à l'observation de nombreuses lumières dans le ciel de Los Angeles et est maintenu jusqu'à 22h23. Vers 2h15, la DCA est sur le pied de guerre après que les radars aient repéré un objet volant non identifié à 120 miles à l'ouest de la ville. A 2h21, un couvre-feu est déclaré sur la ville. A 2h43, des avions sont aperçus par un colonel d'artillerie. A 3 h06, un ballon transportant avec un feu de détresse de couleur rouge est aperçu au-dessus de Santa Monica et la DCA ouvre le feu avec ses canons antiaériens pendant plusieurs heures. Plus de 1 400 obus sont envoyés, sans que ceux-ci ne touchent un seul avion. De nombreux témoignages rapportent la présence de plusieurs objets volants, de différentes formes et tailles, souvent confondus avec les obus de la défense antiaérienne. Les projecteurs de la ville tentent de repérer les aéronefs et balayent le ciel de Los Angeles. À partir de 4h14, les tirs de la DCA deviennent sporadiques.
Le couvre-feu est levé a 7h21 du matin. Trois civils avaient été tués par des retombées d'obus et trois autres moururent d'une crise cardiaque due au stress.

Cela aurait pût être un film pseudo-historique intéressant mais le film dont je vais parler  ne raconte pas cette histoire .

Au camp Pendleton, base militaire située à proximité de Los Angeles, un groupe de Marines, dirigé par le sergent Michael Nantz, est appelé à riposter immédiatement à l'une des nombreuses attaques qui touchent les littoraux à travers le monde. Le sergent Nantz et ses hommes vont mener une bataille acharnée contre un ennemi mystérieux qui est déterminé à s'emparer de l'approvisionnement en eau et à détruire tout sur son passage.

Malgré son pitch prometteur ,son casting sympatoche et un réalisateur inconnu ,le film est un peu raté .

Attention coup de geule !!!:

Je trouve que c'est une pure abération artistique que en 2011, il y ait encore des films avec un tel pathos et une tel patriotisme !!! Le scénario ,loin de donné une fable pseudo-apocalyptique sur la survie humaine face aux E.T. (War Of The World ,Spielberg 2005) ,élabore une sorte de campagne de recrutement de jeunes marines ! Alors dans ce scénario y a t-il un peu cinéma quand même ?!!


Même si la production révèle un cinéaste assez intéressant le film souffre de longueur et de moments de bravoure lourd (ça rime) .Reste une certaine immersion carrément indéniable ,en effet le réalisateur jongle plutôt habilement avec les fausses images de télévision ,et les scènes d'actions sont palpitantes .

Mais quel dommage ,que le scénario n'assume pas cette science fiction ,cette force de l'humanité qui aurait dût être présent dans World Invasion... Mais loin de là les dialogues ne tournent qu'autour d'insultes envers les aliens ,les discours sur le courage des marines ,et pathos abondant !

Un vrai gachi ,car le budget du film ,le réalisateur et le casting (en dessous de tout ,même Aaron Eckart ,terriblement décevant) ,annoncait pourtant une certaine liberté et on aurait presque pût entrevoir l'espoir d'un film vraiment original ....

Si vous voulez vous engager chez les marines mais que vous hésitez se film est pour vous .
Si vous cherchez une petite nouveauté dans le monde de la science fiction vous serez déçu malgré l'immerssion plus qu'interessante .

10/20.

mercredi 21 septembre 2011

Fast Five



Après quatre films plutôt nanar ,et dont les seuls gloires restaient d'avoir réussi à emballer de nombreux fans et de s'imposer au box-office; Après un épisode 3 ultra-médiocre et même pas divertissent ,Justin Lin poursuivais avec un épisode 4 qui réunissait les premiers acteurs de la saga dans un film plutôt assez chaud en terme d'action. Mais comme les producteurs sont capricieux et mise souvent sur leurs valeurs sure ,Lin et le casting est reconduit pour une énième aventure ...

Depuis que Brian et Mia Toretto ont extirpé Dom des mains de la justice, ils ont dû franchir de nombreuses frontières pour échapper aux autorités. Retirés à Rio, ils sont contraints de monter un dernier coup pour se faire blanchir et recouvrer leur liberté. Ils se constituent une équipe d'élite, réunissant les pilotes les plus avertis, conscients que leur seule chance d'être acquittés pour bonne conduite nécessite une confrontation avec l'homme d'affaires véreux qui souhaite les voir morts. Mais il n'est pas le seul à leurs trousses. L'impitoyable agent fédéral Luke Hobbs n'a jamais loupé sa cible. Affecté à la traque des fugitifs, lui et son équipe de choc élaborent un implacable dispositif d'assaut destiné à les capturer. Passant le Brésil au crible, Hobbs réalise combien la frontière qui sépare les bons des méchants est ténue. Il doit alors s'en remettre à son instinct pour acculer ses proies et éviter qu'un autre ne les débusque avant lui.

Fast and Furious ,ah ! cette bonne vielle franchise qui monopolise le box-office à chaque sortie ,ses poursuites de bagnoles ,ses filles sexy ,ses mecs body-buildé ,et ... sont Q.I. qui rase le bitume ... Une saga en incohérence totale avec les premiers qui privilégiaient les poursuites clandestines et le tunning .
The Rock (pourtant bon acteur quand il se donne la peine !) n'a jamais parut si terrrrible en méchant pour finalement devenir gentil ,car sont amour propre et trop fort (pas plus que ses biceps !!) et que sinon les gentils ne gagnent pas. Parce que c'est la grande affaire de Fast Five :"Les gentils doivent gagné !!!!".
Et ce au détriment d'un scénario incohérent ,qui trouve des prétextes facile et rapide du genre "j'ai eu une autre vie avant ça ..." qui éludent toute les pseudo-difficultés scénaristique engendré par le "faire de l'action !" qui pue durant tout le film .
Et ce n'est ni ambiance Ocean's que l'on ressent pendant 5 minutes les quelques moments ,ni l'immersion favelas plutôt réussi qui parvienne à faire de Fsat Five un film regardable .
En effet ,Justin Lin se révèle être une valeur sure du cinéma d'action contemporain ,il faut dire qu'il n'a pas froid aux yeux ,le climax est totalement ahurissant et vraiment bien maîtrisé.
Et si un mec comme Justin Lin avait un bon scénario et de bon acteurs ,il deviendrait sûrement uns des cinéastes à suivre du moment ;mais avec des si on aurait des chefs-d'oeuvres tout les jours ...

Un film d'action sauvage qui en met plein les mirettes mais qui néglige un son scénario et ses personnages pour laisser les honneurs aux poursuites et gun-fights façon C.O.D.

Un actionner un rien bourrin qui n'a le mérite que de divertir pour un dimanche vers 18h.

10/20.

samedi 17 septembre 2011

Sucker Punch :le prologue génial ;sweet dreams interprété par Emmily Browning

Thor



Kenneth Brannagh ,qui réalise un film de super-héros ,doté d'un budget de plus de 150 millons de billets verts ??!!! Ah Ah Ah !!! Elle est pas mal du tout ! Remarque Jon Favreau avait bien réaliser deux Iron Man ... C'est vrai ! Ah !donc c'est pas une blague ???!!! OK! Pourquoi pas .

Au royaume d’Asgard, Thor est un guerrier aussi puissant qu’arrogant dont les actes téméraires déclenchent une guerre ancestrale. Banni et envoyé sur Terre, par son père Odin, il est condamné à vivre parmi les humains. Mais lorsque les forces du mal de son royaume s’apprêtent à se déchaîner sur la Terre, Thor va apprendre à se comporter en véritable héros…

Kenneth Brannagh ,monsieur Shakespear ,aux commandes d'un film des écuries Marvel ,bon le moins que l'on puisse dire c'est que ça ne manque pas d'originalité .Un casting énormissime (et oscarisé(e)) composé de Natalie Portman ,Anthony Hopkins ,Stellan Skarsgaard ,Ray Winstone ,un caméo de Jeremy Renner ... et Thor ,heu... Chris Hemsworth qui ,à l'instar d' un Robert Downey Jr. avec Iron Man ,s'approprie quasi-instantanément le rôle du dieu nordique .
Le contrat effets spéciaux impressionnants et scènes d'actions époustouflantes est évidement rempli malgré le peu d'expérience du cinéaste dans ce domaine .Et l'intrigue bien que mineur sert plutôt habilement un univers Asgaardien vraiment bluffant ;la vraie surprise vient également du tandem Hemsworth/Portman ,la romance n'est pas si convenue et vraiment attachante.
Le film n'en fait jamais trop ,et la mise en scène ne tombe jamais dans le tape à l'oeil.
Et personnellement ,je trouve ça bien de retrouver un vrai "Héro" ;depuis un certain Hancock ,Hollywood ne cesse de nous rabattre des anti-héros, même les Marvel (Iron Man est désinvolte ,Hulk en ras la couane de se trimballer son aler-égo vert ,je n'ais pas encore vu Captain America à l'heure qui l'est...). Dès sa première apparition dans le film Thor est exposé comme un archétype du Héro ,le vrai ... Sa fait un bien fou ,car sa dimension psychologique est fragilisé par sa famille et son amour .

Un vrai bon film de super-héros ,de bonne augure ,en vue de The Avengers.

14.5/20.

Pirates Des Caraïbes: La Fontaine De Jouvence


Aprés avoir totalement révolutionné le genre avec sa triloie Gore Verbinski cède la place de réalisteur de la franchise Pirates Des Caraïbes à Rob Marshall ,le réalisateur oscarisé de Chicago et Nine. Le casting également change avec le départ de Kiera Knightley et Orlando Bloom.

 Dans cette histoire où vérité, trahison, jeunesse éternelle et mort forment un cocktail explosif, le capitaine Jack Sparrow retrouve une femme qu’il a connue autrefois. Leurs liens sont-ils faits d’amour ou cette femme n’est-elle qu’une aventurière sans scrupules qui cherche à l’utiliser pour découvrir la légendaire Fontaine de Jouvence ? Lorsqu’elle l’oblige à embarquer à bord du Queen Anne’s Revenge, le bateau du terrible pirate Barbe-Noire, Jack ne sait plus ce qu’il doit craindre le plus : le redoutable maître du bateau ou cette femme surgie de son passé...

Le retour de Jack Sparrow ,pour le meilleur ? Le pire ? Le casse geule déjà, avec un nouveau réalisateur ,inéxpérimenté en terme d'action et d'aventures .Puis le fait que deux protagonistes importants aient quitter la franchise (momentanément j'espère ...), qui laisse plus de place au personnage emblématique du cultissime Jack Sparrow ...oupps!!! Capitaine Jack Sparrow ,ne vous inquiétez pas, la franchise nous le rabache environ 15 fois par films ,je vais finir par m'en souvenir ...
Bref, une certaine lassitude quant à certaine scène ,en effet un effet de surprise moyen vient parasiter certains effets comiques ; par contre j'aime Pirates Des Carïbes .
Et comme j'aime ,ce film est super ,c'est jouissif ,les scènes d'actions sont sympa comme tout ,c'est un
D-I-V-E-R-T-I-S-S-E-M-E-N-T.
Certaines séquences réussissent le miracle de donné l'illusion d'assister à la naissance de la franchise .Les séquences d'action sont des plus réjouissantes et le film rempli sont contrat dans l'humour .
Le film est sympathique et on retrouve volontiers ces aventures dans les caraïbes .Techinquement Marshall se défend bien et les combats sont équilibrés et ahéré .

Divertissent bien que l'effet de surprise se dissipe plus vite que les précédents volet ,la faute à une lassitude du personnage de Jack Sparrow (il est de quasiment tout les plans), et au nouveau couple ,Sam Clafin et Astrid Berges-Frisbey ,romance totalement raté ,sans ampleur ni intéret.
Un 5ème opus est il nécessaire ?

Fort sympathique même s'il est de moindre interêt que les précédents (le genre a déjà été renouvellé !!!) donnant un effet "blockbuster" assez insuportable qui n'était pas présent dans les films de Verbinki. 

Dommage car on s'amuse bien quand même.

14/20. 

Sucker Punch


Zack Snyder , ennemi juré d'une communauté de geek ,qui assassine le dit cinéaste à chaque annonce de nouveau film ,et qui après avoir vu le film ,les communautés s'effacent devant les oeuvres ...
1er round: -L'Armée Des Morts ;le remake de George A. Romero, les fans du film sont outrés et commencent à spéculer sur Zack Snyder un petit nouveau dont se sera le premier film. Le film sera sélectionné a Cannes ,et les critiques sont positives ,et les fans de Romero reconnaissent le film .Snyder 1- Geeks hérétiques 0.
2ème round: -300; adaptation du roman graphique de Frank Miller ,les fans sont outrés et commencent à spéculer sur Zack Snyder un petit nouveau qui a fait le buzz à Cannes en 2004 avec le remake de L'Armée Des Morts de Goerge A. Romero. Le film est un vrai chef d'oeuvre visuel et moral ;les fans de Miller reconnaissent le film et les critiques encensent le film .Snyder 2- Geeks hérétiques 0.
3ème round: -Watchen: Les Gardiens ;adaptation du roman graphique de Dave Gibbons et Alan Moore; les fans sont outrés et commencent à spéculer sur Zack Snyder un réalisateur qui commence à faire ses preuves après l'énorme succès public et critique de 300. Le film est encore un chef d'oeuvre visuel et moral ;les fans de Gibbons et Moore reconnaissent le film qui s'inscrie comme l'uns des meilleurs films de superhéros de tout les temps .Snyder 3- Geeks hérétiques 0.

Fermez les yeux. Libérez-vous l'esprit. Rien ne vous prépare à ce qui va suivre.
Bienvenue dans l'imaginaire débordant d'une jeune fille dont les rêves sont la seule échappatoire à sa vie cauchemardesque… S'affranchissant des contraintes de temps et d'espace, elle est libre d'aller là où l'entraîne son imagination, jusqu'à brouiller la frontière entre réalité et fantasme…
Enfermée contre son gré, Babydoll a toujours envie de se battre pour reconquérir sa liberté. Combative, elle pousse quatre autres jeunes filles – la timorée Sweet Pea, Rocket la grande gueule, Blondie la futée, et la loyale Amber – à s'unir pour échapper à leurs redoutables ravisseurs, Blue et Madame Gorski – avant que le mystérieux High Roller ne vienne s'emparer de Babydoll.
Avec Babydoll à leur tête, les filles partent en guerre contre des créatures fantastiques, des samouraïs et des serpents, grâce à un arsenal virtuel et à l'aide d'un Sage. Mais ce n'est qu'à ce prix qu'elles pourront – peut-être – recouvrer la liberté…


Gloire à toi Zack Snyder ,toi qui signe d'excellent films très geek, mais non-dénué d'intelligence ,et surtout ta virtuosité visuelle t'honore à chaque fois ,toi qui sait te renouvelé ,visuellement et narativement à chaque fois ...
Certes bien moins ambitieux et abouti que les précédents 300 et Watchmen ,le premier scénario original de Snyder contient une force et une vélocité sauvage ,comme si c'était son premier long ...
Un scénario ,parsemé de quelque lacunes (des personnages sous-exploités ,quelques idées assez faciles ...) et une mise en scène parfois trop proche du jeu vidéo (seulement l'univers samurai) constituent les principaux défauts de Sucker Punch ,qui peut déstabilisé certains sur certaines idées ,et le schéma narratif plutôt complexe et peu accessible (en gros on adhère ou pas...dommage ,perso j'adhère).
Sa mise en scène passe un cap, réellement ,le cinéaste (assagi ?) ne réitère pas la violence déstabilisante de Watchmen ,offre des plans superbe et des séquences à couper le souffle (le prologue ,la lobotomie...).
Le cating est sympathique et on sent une vraie alchimie ,quant aux différents univers ,il sont travaillés minutieusement par Snyder ,qui à chaque fois ne commence ses batailes ,seulement après quelques plans d'expositions ,idée géniale d'un cinéaste posé qui évite toute précipitations (une de ses forces). Bien sur les scènes de batailes et autres combats sont bluffants (une légère déception sur l'univers samurai...), mais le scénario de Snyder reste privilégié dans le film et le twist finale est super sympa .Avec en prime un casting ultra sexy...(Abbie Cornish marry me !!!!!)

Même si il reste le film le plus accessible de l'auteur Sucker Punch ,rempli son contrat côté divertissement ,le premier scénario de Snyder est bon malgré quelques défauts ,peut-être liés à un trop plein d'ambition ,mais bon c'est tellement rare de voir du blockbuster très cérébral ...

15/20.

Deep End


Cinéaste d'origine polonaise Jerzy Skolimovski ,formé notamment dans la même école de cinéma que Roman Polanski, réalise Deep End ,un film anglais , l'un des films majeur de l'année 1970 devenu culte .Le film est ressortit cet été ,dans une version remastérisée.

Mike vient de sortir du collège et trouve un emploi dans un établissement de bains londonien. Susan, son homologue féminin, arrondit ses fins de mois en proposant ses charmes à la clientèle masculine. Amoureux jaloux de la jeune femme, Mike devient encombrant.

Skolimowski montre de façon plus ou moins abstraite les relations humaines ,les pulsions sexuelles adolescentes et la fascination amoureuse aussi ambiguë soit elle.
Dans ces "baths" londoniens ,théâtre de cette love story impossible ,les plans "sous marins" sont d'une beauté à couper le souffle ...Et puis il y a ce montage chronologique centrale ,d'une virtuosité incroyable ,une séquence nocturne tour à tour drôle et touchante .Ainsi que la perte du diamant ,séquence furieuse ,dans laquelle les protagonistes sont dans une situation absurde désamorcé par la gravité de la relation amoureuse exposée.
Avec ces plans tous sublime Skolimowski signe un film d'une émotion rare (le plan final) dût certainement à cette ambiguïté très déstabilisante et à une Jane Asher en état de grâce .

Pour la mise en scène qui laisse sans voix ,et la vision du Londres de 70's .

De toute beauté !

18/20.

dimanche 11 septembre 2011

District 9

Neill Blomkamp, réalisateur de courts et railers pour les jeux vidéos Halo, met en scène un  projet de science-fiction produit par Peter Jackson. Avant un éventuel "Halo: The Movie", tant attendu ?

Il y a vingt-huit ans, des extraterrestres entrèrent en contact avec la Terre...Ces visiteurs d'au-delà des étoiles étaient des réfugiés et furent installés dans le District 9, en Afrique du Sud, pendant que les nations du monde se querellaient pour savoir quoi en faire...Depuis, la gestion de la situation a été transférée au MNU (Multi-National United), une société privée qui n'a pas grand-chose à faire du sort de ces créatures, mais qui fera d'énormes bénéfices si elle arrive à faire fonctionner leur extraordinaire armement. Jusqu'à présent, toutes les tentatives ont échoué : pour que les armes marchent, il faut de l'ADN extraterrestre. La tension entre extraterrestres et humains atteint son maximum lorsque le MNU commence à évacuer les non-humains du District 9 vers un nouveau camp, en envoyant des agents de terrain s'occuper de leur transfert. L'un de ces agents, Wikus van der Merwe, contracte un virus extraterrestre qui se met à modifier son ADN. Wikus est à présent l'homme le plus recherché de la planète, celui qui vaut plus qu'une fortune : il est la clé qui permettra de percer le secret de la technologie alien. Repoussé, isolé, sans aide ni amis, il ne lui reste qu'un seul endroit où se cacher : le District 9...

Un des films de SF les plus excitants des années 2000. Fun et audacieux ,Blomkamp fait mouche avec son vrai-faux reportage(pourtant très très casse-geule). Ce fameux pseudo-documentaire fit couler beaucoup d'encre ,quant à son utilité dans le récit, sa qualité, son utilité; la fin également :y aura t-il une suite ? "le final ,c'est un Goldorak!" ont même dit certaine critique... Sans parler de son buzz monumental(avant et après sa sortie )
Mais que reste-t-il de ce District 9?
Les avis diffèrent ,certains crient au chef-d'oeuvre (moi!) ,d'autres se trouvent des raisons pour relativiser l'impact du film (une crtitique ,pourtant positive, parlait de longeur ?!??!!!?!).
Mais pour les générations à venir ,il ne restera q'une mise en scène pleine d'énergie ,nerveuse parfois violente qui reprend Black Hawk Down pour mieux le transcender.
Un premier long sauvage et explicite dans sa structure narrative ,pour servir un scénar' brillant .Un scénario aux préoccupations très actuelles, qui traite de racisme de façon très allégorique ,le sujet de l'humain qui est différent malgré lui qui devient tout se qu'il a toujours détesté ,son entourage qui refuse de l'écouter ,ces toutes dernières pensées ,celles d'un couple qui ne s'oublie pas .Cette conclusion, la vraie,est poétique ,comme l'ensemble du film,les interrogations sur l'identitée (paradoxe ,le(anti)héro, à peu d'assurance et se connaît mal) .Dans District 9, chaque personnage à dde l'épaisseur et rien n'est laissé aux hasard .

Bien que diablement efficace, District 9 est LE film de science-fiction des années 2000,un film culte ,référencielle pour la génération à venir .Sans doute le film d'extra-terrestres le plus original de l'Histoire . Shrlto Copley est une vraie révélation.

19/20.

Matrix Revolutions

En 1999, deux frères révolutionnèrent la science-fiction ,Andy et Larry Wachowski ,avec l'aide du producteur Joel Silver ,il créèrent The Matrix, un monde virtuel dans lequel évoluent des programmes mais dans le monde réel ,les humains sont culitivées par les machines pour leur fournir dans la matrice ,il concentre le subconscient des humains dans la matrice .
Après leur succès ,les frères Wachowski décidèrent de rechargée la matrice ,Matrix Reloaded voit le jour en 2002, une année plus tard Matrix Revolutions arrive avec son titre...

La longue quête de liberté des rebelles culmine en une bataille finale explosive. Tandis que l'armée des Machines sème la désolation sur Zion, ses citoyens organisent une défense acharnée. Mais pourront-ils retenir les nuées implacables des Sentinelles en attendant que Neo s'approprie l'ensemble de ses pouvoirs et mette fin à la guerre ?
L'agent Smith est quant à lui parvenu à prendre possession de l'esprit de Bane, l'un des membres de l'équipage de l'aéroglisseur. De plus en plus puissant, il est désormais incontrôlable et n'obéit plus aux Machines : il menace de détruire leur empire ainsi que le monde réel et la Matrice...


Si les Wachowski bouclent une des trilogie mère de la science-fiction moderne, ils mènent jusqu'au bout leurs variations dramatiques et ultra-philosophiques(à l'image des dernières scènes du film).
L'interprétation devenu culte ,depuis le 1er épisode(c'est dire l'impact du film),des Keanu Reeves ,Laurence Fishburne, Carrie Ann Moss ,et évidement Hugo Weaving ,toujours aussi flamboyant et effrayant bien que Reeves soit bien plus au centre que les autres films.
Revolutions enchaîne des morceaux de bravoure qui flirtent avec le jamais vu ;l'attaque du quai est d'une incroyable maîtrise technique et réserve un moment de cinéma rare. Quant au combat final entre Smith et Neo, la condition épique et dramatique ,annoncé par les autres film, est respecté ,avec en bonus un chef d'oeuvre de Don Davis (qui signe une partition prenante et virtuose tout au long de la saga).

Depuis ce petit film de SF produit en 1999, les Wachowski se sont inscrit dans le panthéon du film de SF, leur oeuvre est devenue culte grâce à une mise en scène nouvelle et ambitieuse ,qui ne s'est jamais encombré de savoir si un plan était possible à réaliser ou non.
Magique.

17/20.

samedi 3 septembre 2011

[Mise à Jour]: TOP 30:

1) 2001: A Space Odyssey
2) Once Upon A Time In America
3) Taxi Driver
4) The Tree Of Life
5) Pulp Fiction
6) Lolita
7) The Curious Case Of Benjamin Button
8) The Dark Knight
9) Kill Bill
10) Southland Tales
11) Minority Report
12) Inception ex-aqueo Lost In Translation
13) Mulholland Drive
14) Star Wars
15) Old Boy
16) "Death Proof"
17) Full Metal Jacket
18) A.I.
19) Dancer In The Dark
20) There Will Be Blood
21)Eyes Whide Shut
22) The Thin Red Line
23) The Lord Of The Rings
24) Memento
25) The Beach
26) District 9 ex-aqueo Requiem For A Dream
27) Sin City
28) Casino Royale
29) Matrix
30) Black Swan

X-Men :Le Commencement

Matthew Vaughn commence dans les super-héros en 2010, ou plutôt super-zéros avec Kick-Ass ,le film devient instantanément culte et offre à son réalisateur de réaliser un préquel des X-Men dont le papa de cinéma est Brian Singer depuis 2000. Mais le dernier opus signé Brett Ratner (on ne compte pas le spin-off sur Wolverine) sentait le manque d'inspiration malgré quelques bons point ...Doté d'un casting très prometteur(Michael Fassbender, James McAvoy, Kevin Bacon, January Jones, Rose Byrne, Jennifer Lawrence, Nichloas Hoult...) le renouveau des X-Men ?

 Avant que les mutants n’aient révélé leur existence au monde, et avant que Charles Xavier et Erik Lehnsherr ne deviennent le Professeur X et Magneto, ils n’étaient encore que deux jeunes hommes découvrant leurs pouvoirs pour la première fois. Avant de devenir les pires ennemis, ils étaient encore amis, et travaillaient avec d’autres mutants pour empêcher la destruction du monde, l’Armageddon. Au cours de cette opération, le conflit naissant entre les deux hommes s’accentua, et la guerre éternelle entre la Confrérie de Magneto et les X-Men du Professeur X éclata…
X-Men : le commencement nous entraîne aux origines de la saga X-Men, révélant une histoire secrète autour des événements majeurs du XXe siècle.


Etait-ce une bonne idée de placer Matthew Vaughn à la tête d'une franchise comme X-Men ,sachant que l'homme est plutôt du genre un peu comico-loufoque ? Pour moi la réponse est non ,le réalisateur n'a visiblement pas résister à la pression de renouveler la saga ,peut-être lui insuffle-t-elle un second souffle mais pour le long terme ? Pas sûr .Car le contrat est rempli sur le papier ,on s'interesse volontiers au passé de Magneto et du Professeur X, mais on voit un Vaughn anormalement timide côté action ,on sent une certaine retenue ,scéraistiquement le travail est propre mais classique et manque peut-être un peu d'originalité ,de mordant et d'audace .Pourtant on assiste à de beau moment ,comme l'entrainement des jeunes mutants, et les années 60 font pensées à un vieux James Bond assez sympathique .Mais c'est là que le film me dérange ,sur le design(les costumes ,les SFX des superpouvoirs,les armes...)  et la photo ,anormalement lisses et bon enfant ,et la musique de Henry Jackman est insuportable car déjà entendue 150 fois . En revanche côté casting ,c'est irréprochable tout le (beau) monde est bon ,c'est un régal pour les yeux (January Jones ,Jennifer Lawrence ,Rose Byrne...).
Un tout inégale ,malgré quelques moments agréble...Dommage...

11/20.

Once Upon A Time In America

Replaçons les choses dans leur contexte .En 1984, lorsque sort Once Upon A Time In Amercia ,Sergio Leone n'est pas en état de grâce. Son dernier long métrage ,Il Etait Une Fois La Révolution date de 1971 et de nombreux projets ont été refusés par l'intéressé, voire avortés. Le cinéaste italien de 55ans a également passé le témoin du western spaghetti ,qu'il a lui même initié et sublimé. Il débute les eighties de façon peu glorieuse ,en signant des publicités pour les glaces Gervais ,les voitures Renault ou encore Europ Assistance et Palmolive. Et la nostalgie qui accompagne la trilogie du Dollars ou les autres Il Etait Une Fois... est teintée d'amertume à l'égard de cet auteur ,génie du Cinémascope passé au format carré du petit écran. Leone n'est alors plus personne pour une industrie cinématographique qui a changé de visage en une décennie grâce?/à cause? du New Hollywood.

Il était une fois deux truands juifs, Max(James Woods) et Noodles(Robert De Niro), liés par un pacte d'éternelle amitié. Débutant au début du siècle par de fructueux trafics dans le ghetto de New York, ils voient leurs chemins se séparer, lorsque Noodles se retrouve durant quelques années derrière les barreaux, puis se recouper en pleine période de prohibition, dans les années vingt. Jusqu'au jour où la trahison les sépare à nouveau.


L'ultime chef d'oeuvre de Sergio Leone ;matrice inclassable du film de gangsters ,une plongée dans une Amérique fantasmée... Peu de mots ,de possibles résumés, d'adjectifs superlatifs relatifs absolus ,ou autres figures de style ultra poétique et/ou métaphorique ne pourront jamais décrire la beauté ,la puissance ,la toute-grâce de ce film .
Ultra-maîtrisé ,de bout en bout ,du début à la fin ,du premier au dernier plan... Un film aux pouvoirs rares ,voire unique, celui de faire voyager, celui d'émerveiller, celui d'immerger et enfin celui de toucher... Jamais l'Amour ,l'Amitié ,ou des choses comme l'enfance et le désir n'auront été si parfaitement été montré.
Noodles et son Amour pour Déborah[Elizabeth McGovern(adulte)/Jennifer Connelly(jeune)] est un des point les plus ambiguë du film ;au milieu de ces incessantes analèpses/prolèpses ;cet amour repose sur les pulsions ormonales adolescentes de Noodles qui espionne Déborah(sachant que Noodles la regarde) danser et se déshabiller ,puis cette magnifique séquence du dîner ultra romantique et la déchirante du viol... On y voit d'abord un Noodles rêveur et bouleverser devant l'Amour, sentiment qu'il est encore capable d'éprouver après avoir tant pecher, qu'il porte à cette femme .Puis un Noodles frustrer à l'idée qu'il ne pourra satisfaire son désir sexuelle pour Déborah(cela n'irrite pourtant en rien l'Amour qu'il a pour elle) qui va violer la femme de sa  vie ...

Mais le chapitre de l'enfance reste le plus stupéfiant et riche ,le plus aboutie(attention ,les autres restes sont ultra aboutie, riche ,stupéfiant ,les adjectifs me manquent vous le savez... on va dire que le chapitre de l'enfance est mon préféré ...). Dans ce chapitre ,on voit des gosses juifs rebelles ,dès l'enfance leur goût prononcé pour les magouilles ,l'argent ou la réussite (suivant les interprétations) ,le sexe ,sellent leur amitié pour la vie ;superbe moment du film dans lequel les gosses se jurent amitié autour de leur "business" adolescent autour d'une mallette dans une gare (Il Était Une Fois La Mallette Dans La Gare ;pas mal non ?). Mais dès qu'il quitte la gare ,le bain de sang ;c'est aussi ça Once Upon A Time... de la violence ,souvent crue ,mais plus présente ,à  plus grande échelle diront nous que dans les précédents films de Leone. Enfin, la plus belle séquence du film (ne regroupe aucun des premiers rôles) ,lorsqu'un des gamins achète une pâtisserie succulente a Peggy ,la jeune fille qui va faire découvrir les premières joies du sexe à toute la bande, pour payer "sa première fois" .Il attend la jeune fille sur le pallier de sa porte car elle finit de prendre son bain. il s'assoit sur les escalier pour l'attendre plus confortablement avec la friandise... puis finit par la dévorer ,et quand Peggy sort et lui demande la raison de sa venue le garçon se défile... Pour moi cette scène représente l'instinct de l'enfant(la gourmandise avec les patisserie) qui refait surface alors que l'humain est sur le point de devenir un homme ,un vrai(perdre sa virginité).
Robert De Niro ,son interprétation reste une de ses plus mémorables ,James Woods trouve le rôle de sa vie ,et "les Déborah":Elizabeth McGovern/Jennifer Connelly nous brisent le coeur.

Mais l'héroïne de ce long fleuve "intranquille" est d'abord la mise en scène de Leone ,qui réussit à sublimer tout ce que regarde la caméra ,les séquences citées ci-dessus, la mort d'un enfant ,la Floride , l'approche l'Humain et de ses sentiments ...
Et ces plan de ce morceau de rue nimbé de fumée ,où des silhouettes menaçantes viennet bloquer la course d'un enfant , où encore la sortie de gare triomphale des enfants devant la majesté du pont de Brooklyn en arrière-plan s'est imprimé jusqu'au plus profond des subconscients (dont le mien...).

Il était une fois le cinéma...


jeudi 1 septembre 2011

Le Dernière des Templiers

Le réalisateur Dominic Sena(Opération Espadon, 60 Secondes Chrono...),s'attaque à l'Heroic Fantasy pseudo Historique avec Le Dernier Des Templiers(Season Of The Witch), un film tourné en 2009, avec Nicolas Cage et Ron Perlman ,un réalisateur en quête de succés crtitique depuis son seul vrai bon film Opération Espadon...

Après des années de croisade en Terre sainte, le templier Behmen et son fidèle compagnon, Felson, reviennent en Europe, désabusés. Alors qu'ils aspirent à une vie paisible, ils découvrent leur pays ravagé par la peste noire et se retrouvent appréhendés par les hommes du Cardinal.
Accusés d'avoir déserté, ils risquent la prison. Ils n'ont pas d'autre choix que d'accepter une étrange mission. Ils doivent escorter une mystérieuse jeune femme, désignée comme une sorcière responsable de l'épidémie, jusqu'à un lointain monastère où elle sera jugée et où sera pratiqué un ancestral rituel purificateur...
À travers des terres hostiles et dévastées par la maladie, dans des contrées sauvages, Behmen, Felson et quelques autres, se lancent dans le plus dangereux et le plus fascinant de tous les périples. Alors qu'aux yeux de Behmen, la jeune femme apparaît de plus en plus comme un bouc émissaire, d'étranges phénomènes se produisent. Tous ne vont pas tarder à découvrir les effroyables forces qui les attendent...


Comme attendu, Sena se plante une nouvelle fois ,après les WitheOut ,The Mechanic(quoique soirée pizza entre potes ça peu peut-être le faire...) (et j'en passe...!), cette fois en s'attaquant à la période des Croisades avec une maladresse déconcertante ,il multiplie les clichées et les réchauffés(la scène du pont avec un plan sur la corde prête à lachée d'un instant à l'autre et ils s'en sortent in extremis!!!). Les acteurs sont des monolithes ,les dialogues sont ... les dialogues ?!...Ah! il y en a ...?!!!...Pardon ! Côté action ça casse pas trois pattes à un canard !La fin est baclée ... Pfffff....Ah !!!c'est fini !! "Qu'est-ce que c'est que cette matière ? Ah ben c'est de la merde...

Peut-être si c'était sorti en 1989 ...Nan ça aurait-été nul quand même...

...4/20.

The Rite

Mikaël Hafstrom(Chambre 1408, Dérapage) ,suédois, se fait remarqué à Hollywood en 2004,grâce à Ondskan nominé à l'Oscar du meilleur film étranger, un drame adolescent ,ses autres réalisation furent des films d'épouvantes .Pour son troisième films "Hollywoodien", il s'entoure une nouvelle fois d'une distribution préstigieuse...

Le jeune séminariste américain Michael Kovak(Colin O'Donoghue) se rend au Vatican pour y étudier les rites de l’exorcisme. Féru de psychologie, il nourrit de sérieux doutes à l’égard de ces pratiques anciennes, et juge que la «possession» relève de la psychiatrie plutôt que de la démonologie. Il se heurte périodiquement à ses formateurs jusqu’au jour où ceux-ci l’adressent au Père Lucas(Anthony Hopkins), ecclésiastique légendaire qui a pratiqué avec succès des centaines d’exorcismes. Au contact de ce mentor au comportement abrupt et déroutant, Michael commence à se déprendre de ses préjugés. Un cas se présente bientôt à lui, dont la violence terrifiante va le forcer à se remettre en question…

Dans la droite lignée de L'Exorcist, cette histoire de possession peine à tenir ses promesses, d'abord le casting ,pourtant prestigieux (Anthony Hopkins, Rutger Hauer, Ciaran Hinds...), déçoit ,notament la faute à des personnages sans épaisseur ,le nouveau venu Colin O'Donoghue(Les Tudors) ne parvient pas à s'imposer et le cruel manque d'alchimie entre lui et Hopkins(d'accord monstre sacré mais je crois qu'une jeune fille de 15ans dominait un film parmi des Matt Damon, Jeff Bridges et autres Josh Brolin dans un certain True Grit ...). Malgré quelques scènes plutôt efficace(prmiers éxorcismes du Père Lucas), la mise en scène assez inégale de Hafstrom se perd dans des longeurs et des flashs-backs ratés, reste quelques idées sur l'acceptation de la foie ,ou de la vérité très intéressante .
Décevant dans son ensemble ,mais au moins ,même les athés peuvent s'identifier au(x) personnage(s)...

11/20.